Axées sur la prévention et le bien-être global., malgré leur reconnaissance encore partielle, ces médecines douces offrent une approche holistique de la santé, intégrant le corps et l'esprit dans une dynamique d'auto-guérison.
Le coût de la prévention : un investissement pour l'avenir
Paradoxalement, le prix d'une consultation ostéopathique, non prise en charge par l'Assurance Maladie, est souvent perçu comme un obstacle. Pourtant, investir dans la prévention, c'est investir dans une meilleure santé à long terme, réduisant ainsi les coûts liés aux soins curatifs, aux hospitalisations et aux médicaments. Ce raisonnement s'applique également à la sophrologie, une pratique complémentaire qui favorise la gestion du stress et l'équilibre émotionnel.
Des approches complémentaires, non substitutives
Il est important de souligner que ni l'ostéopathie ni la sophrologie ne remplacent les soins médicaux conventionnels. Elles ne guérissent pas le cancer ni ne soignent les fractures. En revanche, leur rôle préventif est indéniable. L'ostéopathie, par ses techniques manuelles, agit sur les systèmes musculo-squelettique, nerveux, digestif, ORL et vasculaire, prévenant ainsi les troubles musculo-squelettiques (TMS) et améliorant la qualité de vie.
L'ostéopathe : un allié pour notre bien-être
L'ostéopathe, par son approche globale, établit un dialogue approfondi avec le patient pour comprendre l'origine de ses maux. A travers des techniques manuelles variées (structurelles, fasciales, viscérales, crâniennes), il vise à rétablir l'équilibre du corps. Son expertise dépasse souvent celle du généraliste, car il suit le patient dans sa globalité.
Une reconnaissance nécessaire
L'OMS reconnaît l'ostéopathie comme une pratique reposant sur le contact manuel pour le diagnostic et le traitement, soulignant l'interrelation entre le corps, l'esprit et la santé. L'ostéopathe utilise sa connaissance des relations structure-fonction pour optimiser les capacités d'auto-régulation du corps.
Si j'étais président voici ce que je ferais :
Une reconnaissance officielle par la Sécurité Sociale de l'ostéopathie et de la sophrologie, avec un remboursement pour des suivis préventifs et curatifs, permettrait une meilleure accessibilité à ces pratiques bénéfiques pour la santé publique, sous réserve d'un encadrement strict des diplômes et des inscriptions des praticiens.
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